Thierry Escaich
Concertgebouw, Amsterdam
Hardi, parsemé de touches jazzy puis osant la caresse ineffable, le Concerto en sol de Ravel est un régal : les pianistes l’adorent pour son swing…
De Singel, Anvers
À la demande de la pianiste, le programme a été modifié. Alice Sara Ott déclare : « Suite à une tendinite contractée en début d'année, j'ai réalisé…
Ravel, Concerto en sol / Jaap van Zweden
Hardi, parsemé de touches jazzy puis osant la caresse ineffable, le Concerto en sol de Ravel est un régal : les pianistes l’adorent pour son swing…
Ravel, Concerto en sol / Jaap van Zweden
Hardi, parsemé de touches jazzy puis osant la caresse ineffable, le Concerto en sol de Ravel est un régal : les pianistes l’adorent pour son swing…
Konzerthaus, Vienne
À la demande de la pianiste, le programme a été modifié. Alice Sara Ott déclare : « Suite à une tendinite contractée en début d'année, j'ai réalisé…
La Voix Humaine / Point d’orgue
Il y a d’abord une femme abandonnée, dans une tragédie de la rupture formulée par Cocteau qui arrache à Francis Poulenc de douloureux accents de…
La Voix Humaine / Point d’orgue
Il y a d’abord une femme abandonnée, dans une tragédie de la rupture formulée par Cocteau qui arrache à Francis Poulenc de douloureux accents de…
La Voix Humaine / Point d’orgue
Il y a d’abord une femme abandonnée, dans une tragédie de la rupture formulée par Cocteau qui arrache à Francis Poulenc de douloureux accents de…
La Voix Humaine / Point d’orgue
Il y a d’abord une femme abandonnée, dans une tragédie de la rupture formulée par Cocteau qui arrache à Francis Poulenc de douloureux accents de…
La Voix Humaine / Point d’orgue
Il y a d’abord une femme abandonnée, dans une tragédie de la rupture formulée par Cocteau qui arrache à Francis Poulenc de douloureux accents de…
Mozart / Saint-Saëns / Escaich - Quatuor Tchalik
L’alliance inhabituelle de l’orgue et du quatuor à cordes prend toute sa valeur lorsque de tels interprètes l’incarnent. Thierry Escaich est un de…
Elgar, Concerto pour violoncelle / Kian Soltani
Sa hauteur de vue, son flux mélodique inépuisable et l’écriture à vif de l’instrument soliste, jouant à perdre haleine pendant quarante-cinq minutes…