Musique Baroque

Extase, vertige, ornementation proliférante, telles sont les vertus de l’art baroque – dont le nom vient du portugais barroco – « perle irrégulière ».
Cette saison, le baroque se décline de bien des manières : vocalement déjà, avec l’Ode à Sainte Cécile de Purcell par Les Surprises, une galerie de portraits de Haendel incarnés par Sandrine Piau, et l’accord délicat entre Lea Desandre et Thomas Dunford autour de Dowland et Purcell.
Et puis il y aura Bach, tour à tour au piano (Le clavier bien tempéré par Andrei Korobeinikov), au clavecin (les Variations Goldberg par Justin Taylor), au violon (Concerto pour violon n°2 par Vilde Frang) et évidemment à l’orgue tout au long de l’année. Autre perle baroque : John Eliot Gardiner revisitant la suite des Boréades de Rameau à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Radio France.