Andrei Kavalinski est lauréat des plus grands concours internationaux de trompette tels que le Concours international de Trompette Maurice André (Paris), Citta di Porcia (Italie), Tromp Muziek Biennale (Eindhoven, Pays-Bas), Toulon (France), Moscou (Russie), ITG- Ellsworth-Smith (Bad Säckingen, Allemagne), etc. Il est également lauréat du prix Karlheinz-Stockhausen (Allemagne), du prix Richard-Wagner (Bayreuth, Allemagne), du prix Timofei-Dokshizer (Moscou, Russie), etc. Il a étudié la trompette avec les professeurs Reinhold Friedrich et Edward H. Tarr à la Hochschule für Musik de Karlsruhe (Allemagne). En 2005, il a obtenu son diplôme de concert avec les meilleures notes possibles. Andrei Kavalinski a poursuivi ses études avec Karlheinz Stockhausen à Kürten, en Allemagne. Il effectue de nombreuses tournées en Europe, en Amérique du Sud, en Asie et en Russie en tant que soliste et musicien de chambre. Outre l’Orchestre National de France, où il est trompette solo, Andrei Kavalinski s’est produit avec le Deutsches Symphonie- Orchester Berlin, l’Orchestre du Bolchoï (Moscou), l’Ensemble orchestral de Paris, l’Orchestre de chambre «Virtuoses de Moscou», l’Orchestre philharmonique des Pays-Bas du Sud, l’Orchestre d’État de Darmstadt (Allemagne), l’Orchestre de chambre de Lituanie, l’Orchestra di Padova e del Veneto (Italie), l’Orchestre de chambre de Kyoto (Japon) et d’autres encore. Andrei Kavalinski a travaillé avec des chefs d’orchestre tels que Bernard Haitink, Riccardo Muti, Mariss Jansons, Valery Gergiev, Neville Marriner, Neeme Järvi, Yannick Nézet-Séguin, Trevor Pinnock, David Zinman, Christoph Eschenbach, Fabio Luisi, Semyon Bychkov, etc. Son vaste répertoire comprend des œuvres des périodes baroque, classique et romantique, ainsi que des œuvres de compositeurs contemporains. De nombreux compositeurs ont dédié à Andrei Kavalinski leurs œuvres pour trompette solo, trompette et orchestre symphonique. Il a enregistré pour Deutsche Grammophon, Sony, RCO Live, Erato, Warner Classics. Andrei Kavalinski donne des masterclasses dans le monde entier. 

Simone Young - Photo : Sandrah Steh

Mozart, Symphonie « Jupiter » / Simone Young

La mère des symphonies, son « modèle immortel » disait Mendelssohn : le surnom de « Jupiter », choisi après la mort de Mozart, enflamma l’imaginaire…
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