Deux univers se répondent. Celui des femmes d’abord : leurs voix invoquent l’Orient dans les Rig Veda de Holst, se fondent à la transparence de la harpe chez Fauré, puis s’assombrissent dans l’élégie de Chausson. Puis viennent les hommes : Britten les entraîne dans une ballade haletante, entre amour et meurtre, avant qu’une messe nouvelle de David Briggs ne déploie sa lumière d’espérance. Le tout sous la direction du mythique chef de chœur anglais Stephen Layton.